Il est bien sage ce jeune homme, 23 ans 2éme année de droit , l’aplomb d’un vieux briscard devant les média et un doigt de sagesse tempérant une ardente fougue juvénile.
A son âge Bonaparte était à Toulon, il convainc le général Dugommier de lui laisser carte blanche, il prend le Mont Faron en galvanisant ses troupes et Monsieur Canon, tel était le surnom qu’on lui donnait, tire à boulets rouges sur la flotte anglaise mouillée dans la petite rade. Pour les navires en bois de l’époque le danger suprême n’était pas l’eau mais le feu. Les Anglais sentant le danger prirent la fuite. Arrivé Capitaine Bonaparte en repartit Général.
Avant de briguer fonctions importantes nous attendons du jeune Sarkozy sa "Prise du mont Faron"
Être élu quant on s’appelle Sarkozy n’est pas à l’heure actuelle un exploit, à peine une légitimité.
Par contre sa décision de ne pas briguer la présidence de l’EPAD est une preuve de maturité dans la mesure bien sûr où cette décision lui appartient.
Pas d’impatience, jeune homme, le temps vous appartient désormais pour faire montre de vos capacités et vous faire un prénom.
Même si vous aviez les capacités de diriger cet organisme et de le faire progresser votre nom vous rendait la mission impossible et à la tête de l’EPAD vous n’auriez été que le fils du Président, alors qu’en attendant votre heure, les preuves de vos compétences et un peu d’expérience vous serez alors et définitivement Jean Sarkozy.
Le déchaînement médiatique était normal car même si votre Père ne fût rien dans l’affaire, ce qui reste à prouver, on ne peut s’empêcher de penser que ses courtisans apparus aux créneaux pour vous défendre durant toute cette semaine vous auraient, comme au bon vieux temps des godillots, pour plaire au Prince, propulsé au sommet de l’Arche.
Même les plus " géniaux " des jeunes doivent passer par un noviciat.
Être élu quant on s’appelle Sarkozy n’est pas à l’heure actuelle un exploit, à peine une légitimité.
Par contre sa décision de ne pas briguer la présidence de l’EPAD est une preuve de maturité dans la mesure bien sûr où cette décision lui appartient.
Pas d’impatience, jeune homme, le temps vous appartient désormais pour faire montre de vos capacités et vous faire un prénom.
Même si vous aviez les capacités de diriger cet organisme et de le faire progresser votre nom vous rendait la mission impossible et à la tête de l’EPAD vous n’auriez été que le fils du Président, alors qu’en attendant votre heure, les preuves de vos compétences et un peu d’expérience vous serez alors et définitivement Jean Sarkozy.
Le déchaînement médiatique était normal car même si votre Père ne fût rien dans l’affaire, ce qui reste à prouver, on ne peut s’empêcher de penser que ses courtisans apparus aux créneaux pour vous défendre durant toute cette semaine vous auraient, comme au bon vieux temps des godillots, pour plaire au Prince, propulsé au sommet de l’Arche.
Même les plus " géniaux " des jeunes doivent passer par un noviciat.